Il est évidemment très sot de ne pas lire ses contemporains : c’est être aveugle. Reconnaissons cependant que les livres qui paraissent ont quelque chose de répugnant. Ils sortent de la matrice, du petit jour glaireux, des eaux troubles du présent, attachés encore à leur auteur par de longs fils gluants. Raison pour laquelle sans doute nous les lisons avec des pincettes.
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